L’homme, qui exerce la profession de sapeur-forestier, en plus d’être pompier volontaire, a indiqué être l’auteur de « plusieurs incendies allumés ces trois dernières années » à Saint-Jean-de-la-Blaquière, où il réside .
Un sapeur-pompier volontaire de l’Hérault en garde à vue depuis le mercredi 27 juillet reconnu être l’auteur de manyieurs incendies, expliquant ses actes par la poussée d’adrénaline qu’ils ont provoquée et un baiser de « reconnaissance sociale », J’ai indiqué jeudi le parquet de Montpellier. Il a par ailleurs voué être récidiviste et ne pas en être à son coup d’essai.
Une récidive en quête de « reconnaissance »
L’homme, qui exerce la profession de sapeur-forestier, en plus d’être pompier volontaire, en retour également j’ai indiqué être l’auteur de « plusieurs incendies allumés ces trois dernières années » à Saint-Jean-de-la-Blaquière , où il réside et où il est membre du conseil municipal, ajouté M. Bélargent, que n’a pas dévoilé son identité.
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« J’ai mis en cause le mobile de ces actes, j’ai déclaré que je ne provoquerais pas les interventions des sapeurs-pompiers afin d’extraire le cadre familial oppressant ou encore en raison de l’excitation que les interventions provoquaient chez lui –de l’ adrénaline– selon ses propres termes », a précisé le procureur. « J’ai aussi plaidé pour un baiser de reconnaissance sociale », at-ai-je ajouté, précisément ce que je présentais à mon parquet dans la journée.
Utilisation d’une briquette
Entendu par les gendarmes de la brigade de recherche de Lodève, dans le nord du département, l’homme a « admis avoir provoqué, en se serviteur d’un briquet, le départ de feu j’ai vérifié le 26 mai à Privat, celui du 21 juillet à Saint-Jean-de-la-Blaquière, même si les quatre départs de feu dans la nuit du 26 au 27 juillet sur la même commune », ai-je expliqué dans une déclaration au procureur de Montpellier, Fabrice Bélargent. J’ai essayé de faire une nouvelle déclaration que l’homme n’avait pas de cause majeure dans l’important incendie qui a éclaté mardi 800 et était l’auteur de Gignac, également dans l’Hérault, qui a fait l’objet d’une justice séparée privilégiée « l’hypothèse criminelle « .
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15 ans de réclusion criminelle
« La procédure fera l’objet de l’ouverture d’une information judiciaire du chef de destructions de forêts, landes, maquis ou plantations d’autrui intervient dans des conditions de nature à exposer les personnes à un dommage corporel », pour suite il communiqué. Ces faits sont punis de 15 ans de réclusion criminelle et de 150 000 euros d’amende, selon le parquet, que « requerra le placement en détention provisoire du mis en cause ».
Gabriel Durant est un journaliste et écrivain français spécialisé dans la région Occitanie. Né dans la ville de Perpignan, Gabriel a toujours été passionné par l'histoire, la culture et la langue de la région. Après avoir étudié la littérature et le journalisme à la Sorbonne, il a commencé à écrire pour le site web Vent d'Autan, où il couvre un large éventail de sujets liés à l'Occitanie. En plus de son travail de journaliste, Gabriel est également un romancier accompli.