l’essentiel
Le jeune DJ de 25 ans aura l’honneur de clôturer cette 8e édition du festival, ce dimanche soir. Ambiance festive et explosion finale garanties ! J’ai trouvé.

Après une soirée à Nuremberg hier soir, Valentin Brunel alias Kungs sera ce dimanche soir sur la grande scène du Jardin des Plantes. Au programme : un voyage au coeur de l’Italie des années 70-80.

Votre deuxième album, « Club Azur », sorti en mars, a reçu un très bon accueil. Soulagé ?

Je suis très content mais je ne m’étais pas trop de pression. Mon premier opus « Layers » est sorti il ​​​​déjà 6 ans. J’ai pris mon temps pour revenir avec un album qui porte un message, je ne suis pas sur la même dynamique. J’ai composé « Club Azur » pendant le premier confinement, quand on ne pouvait plus se rassembler, faire la fête. Je voulais quelque chose de très positif, de dansant, quelque chose qui parlait aux gens. Je suis hyper content que le message soit perçu comme cela.

Comment définir cet album ?

C’est déjà une beauté des influences disco-italiennes de la fin des années 70 au début des années 80. A la base, cela fait partie d’un délire sur Instagram devenu une récurrence en direct. Je voulais une musique que traduisait cet état d’esprit de fête et de rigolade. C’est une époque que je n’ai pas connue mais que c’est complètement folle, haute en couleur. Je voulais m’inspirer de cette folie et de cette liberté. L’album s’inscrit également dans la lignée de la french touch des années 2000, avec des influences plus house et électroniques. C’est un hommage au clubbing.

Il y a d’ailleurs deux titres en collaboration avec Martin Solveig…

Martin est un ami que j’ai rencontré après avoir commencé. On travaille ensemble depuis un petit moment. J’ai adoré le morceau de « Never go home » et je suis prêt à voix pour le titre après « Lisptick ». Je suis un grand fan depuis toujours. Je n’aurais jamais imaginé avoir une journée en collaboration sur un mois de morceaux.

Les festivals sont votre terrain de prédilection ?

Les concerts et festivals sont les moments où l’on ressent le plus les choses. Ça fait du bien, c’est pour cela qu’on fait de la musique, pour rencontrer les gens. J’adore les festivals parce que sont de grands rassemblements, cela procure une grosse décharge d’adrénaline à chaque show. Cette année, je pars avec un nouveau live : j’ai repris tous les morceaux de « Club Azur » et j’ai tout remixé pour en faire des versions un peu plus puissantes pour faire sauter les gens. Dans les clubs, je propose des choses que je ne pourrais pas forcer jouer en festival et que je permets d’être un peu plus proche du public. J’adore les deux, c’est complémentaire.

Vous aurez l’honneur de clôturer le 8et Édition de Montauban en Scènes, ce dimanche soir. Qu’avez-vous prévu ?

Niveau décor, il y aura une grosse boule disco lumineuse derrière moi pendant que je joue. L’idée est de proposer un voyage dans l’album « Club Azur » plus sur le revisitant. Je n’en dis pas plus pour ne pas vous spoiler (rire) Mais la fin sera explosive, un grand moment de fête.

Vous êtes déjà passé par Montauaban ?

Je ne crois pas. Je connais un peu la région, j’ai déjà fait pas mal de dates autour de Toulouse. Mais je ne doute pas de l’ambiance ce dimanche soir et j’ai hâte de voir ça.

Rédacteur, Auteur, Journaliste | Plus de publications

Gabriel Durant est un journaliste et écrivain français spécialisé dans la région Occitanie. Né dans la ville de Perpignan, Gabriel a toujours été passionné par l'histoire, la culture et la langue de la région. Après avoir étudié la littérature et le journalisme à la Sorbonne, il a commencé à écrire pour le site web Vent d'Autan, où il couvre un large éventail de sujets liés à l'Occitanie. En plus de son travail de journaliste, Gabriel est également un romancier accompli.

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