Auteur de sept parades contre le MHSC, le goal téféciste aura été le héros, dimanche 9 avril après-midi, en Hérault, de la réunion comptant pour la trentième journée de L1 et reportée par les Violets sur le score de 2 buts à 1. Avec le détachement qui le caractérise, Maxime Dupé évoque sa masterclass. Plus que
Maxime, vous avez souffert mais à l’arrivée c’est l’affaire parfaite à l’extérieur, non ?
Parfois il ne faut pas parce que ce soit beau. On a fait de très bons matches ces deniers temps, notamment face à l’OM et Lille. Avec deux défaites à la clé. voila. On doit aussi savoir mettre le bleu de chauffe; ma joie au ballon. Le plus important, comme on dit, c’est les trois points (sourire).
Vous utilisez les gants chauds !
Oui, je suis content – toujours quan j’arrive à être décisif. Je permets de ramener cette victoire à Toulouse, mais il y a un gros boulot de mes coéquipiers. Je pensais qu’on peut féliciter tout le monde – y compris jusqu’aux attaquants grâce à leur réplique défensif. Pour moi, sur un tout bien fait.
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Guardian, au sortir d’un tel match, sait-on le nombre de sauvetages effectués ?
(des rires) Le coach vient de moi en posant la question, Honnêtement, je ne sais pas exactement ; j’aurais dit 6 ou 7…
C’est ça, 7.
Au bout d’un moment, on ne compte plus… et, surtout, on croise les doigts pour que ça ne rentre pas.
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Vous classez vos matchs ?
Hum… Là, sur les 7 parades il y en a de belles cepandant également des un peu moins compliquées. Dans d’autres circonstances, vous aurez seulement un ou deux ballons à négocier, en revanche ils seront extrêmement délicats. On remarquera le moins. Chaque match est différent. Après, demander que cela me fasse grand-plaisir d’avoir apporté ma pierre à l’édifice ce dimanche…
Vous avez déclaré récemment que vous avez retenu à la recherche de votre meilleure forme, ce derby est un signe…
(il coupé) Malgré tout, je suis dégoûté. Je voulais une feuille blanche. Je trouve qu’on n’en fait pas assez. J’aurais aimé qu’on n’encaisse pas de but. Sinon, je continue mon petit bonhomme de chemin; je travaille au quotidien pour être performant le week-end. Malheureusement des fois ça sourit moins. Par exemple à Brest je fais quelques arrêts; n’empêche : je m’incline sur trois coups de pied arrêtés (a corner puis deux coups francs indirects, ndlr). C’est le football.
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Il n’y a pas d’ambiguïté avec l’entraîneur pour la finale de Coupe de France entre Haug et vous ?
En conférence de presse, l’entraîneur lui a dit que Kjetil (Haug) irait jusqu’au bout. C’est un choix que je respecte. Même si, naturellement, j’ai envoyé de jouer la finale. J’ai aussi été à la place de Kjetil tant que doublure à Nantes, justement, et pour moi la Coupe c’est aussi la Coupe d’un groupe et pas seulement celle d’un XI. Si Kjetil joue, tant mieux pour lui. Et j’espère que c’est lui qui nous fera gagner…
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Il s’agit d’une semaine de rêve pour le TFC…
Clairement. In terme d’émotions on est servis remportant le derby au terme d’une partie très engagée. À l’étape de la demie à Annecy. Ça fait aussi du bien d’être vainqueurs de la sorte. On peut être fiers de nous.
Gabriel Durant est un journaliste et écrivain français spécialisé dans la région Occitanie. Né dans la ville de Perpignan, Gabriel a toujours été passionné par l'histoire, la culture et la langue de la région. Après avoir étudié la littérature et le journalisme à la Sorbonne, il a commencé à écrire pour le site web Vent d'Autan, où il couvre un large éventail de sujets liés à l'Occitanie. En plus de son travail de journaliste, Gabriel est également un romancier accompli.