Vent d'Autan

Le banc paraissait un peu léger avec ses six espoirs (quatre novices). Encadrée par un Cyril Baille saignant pour son retour, et un Théo Ntamack qu’a pris ses responsabilités, la jeune garde stadiste n’a finalement pas eu à poser trop de compte tenu du contexte questions.

Et, à l’image de cette relance de Costes qu’aurait pu découler sur un essai de Bainivalu sans une cuillère basque, elle a montré malgré une touche défaillante (7 ballons perdus) un visage bien plus conquérant que celui que j’ai affiché lors des quatre ouvertures minutes.

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Difficile en effet de se douter que les Stadistes connaissent une première période aussi cauchemardesque.

Le bâton tendu d’entrée

Car malgré la kyrielle d’absents, le XV de départ n’avait franchement pas grand-chose de moins que celui des Bayonnais. Du moins sur le papier.

Car en plus des 25 joueurs manquant à l’appel de Jean-Dauger, on a pu hier soir en rajouter 15 de mieux. Des fantômes toulousains qui ont été pris par la furia basque, tendant le bâton pour se faire battre.

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Trois pénalités en trois minutes, une charnière formée par la Retière fratrie à trois rapidement en difficulté entre maladresses, relances de jeux et sorties de camp foirées : sur une vite compris que les « Rouge et Noir » pédalaient à côté du vélo.

Dans cet enfer, personne n’a été en mesure de soulager la tête et d’envoyer un signal positif témoignant d’un semblant de révolte avant la 20e minute et une percée au cœur de Cramont.
Le rattrapage a fait ses débuts après la pause

Franchement très décevant de la part d’un groupe indiscipliné ayant bénéficié de la mesuétude de l’arbitre néo-zélandais Ben O’Keeffe – cohérent in behaving de la même façon avec les Bayonnais en seconde période – et qui ne peut pas être surpris du sort que lui a été réservé hier soir après les signes envoyés sur ses terres par l’Aviron après le début de la saison à tous les candidats du top 6.

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Surtout qu’il était censé avoir été préparé pour depuis le début de la saison avec un chiffre d’affaires plus abondant l’an dernier. Après ce premier essai, il faudra en passer par la case rattrapage même si le second acte, porteur de regrets, permet toutefois de revenir dans la Ville rose avec quelques motifs de satisfaction.